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Camino para Fisterra # 72
Cette semaine quelques vues au cap Fisterra.
A la fin du chemin, la tradition veut que l'on brûle ses affaires. L'origine doit venir du moyen âge, les pèlerins n'ayant pas l'hygiène de maintenant, sentaient mauvais et les vêtements grouillaient de vermines.
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Commentaires
une tradition surprenante Gérard...
une coutume qui n'existe plus, je suppose
belle fin de la semaine
Bonjour,
Je ne connaissais pas cette tradition. Mais on peut le comprendre surtout à l'époque .... comme on dit au Québec "cela devait sentir le petit moine" !!!
Bonjour Gérard,
Ah, je ne brûlerai pas les miennes, elles sont pratiquement neuves,
en plus je les ai payées 160 €, il faut que j'y fasse attention, ce sont mes filles qui me les ont offertes !!!
j'en mettrai une vieille paire dans mon sac à dos !! lol
Très belle photo, à quand la mienne, j'espère un jour quand même !!!!!
Bon week-end , bises
8DeviSamedi 27 Juin 2015 à 10:26Bonjour Gérard. On peut comprendre qu'il soit normal de brûler des vêtements dans lesquels les pélerins de l'époque avaient transpiré et où la vermine avait élu quartier... mais de nos jours ce n'est plus en effet qu'une tradition symbolique. J'avais entendu raconter. Il faut donc partir avec un peu de change pour ne pas rentrer chez soi tout nu. LOL ! Bonne journée
Bonjour Gerard,
C'est à ce moment-là que les femmes clament qu'elles n'ont plus rien à se mettre
Je te souhaite un bon weekend,
Frans
4Jypyä PopSamedi 27 Juin 2015 à 08:02S'il faut tout brûler, mieux vaut partir léger ;-)
Pas les vêtements tout de même ????
Bonne journée Gérard
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Belle compo de cette tradition qui se perpétue , même si on adopte un peu étant donné le prix des vêtement et les conditions d'hygiènes actuelles !
Michel