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L'Acrocorinthe
L'Acrocorinthe, Le site de la forteresse inclut deux sommets d'un massif montagneux haut de 575 m, entre lesquels jaillissent des sources qui fournissent la forteresse.
L'Acrocorinthe, Le site de la forteresse inclut deux sommets d'un massif montagneux haut de 575 m, entre lesquels jaillissent des sources qui fournissent la forteresse.
L'Acrocorinthe. En tout, le rempart se développe sur près de deux kilomètres, mettant à profit les dispositions naturelles des escarpements, habilement intégrés au système de défense. Des ravins abrupts et des éboulis protègent l'ensemble au nord, à l'est et au sud, surplombés d'une ceinture ininterrompue de remparts, renforcée à l'ouest et seulement percée de trois petites portes annexes du côté nord. (Source Wikipédia)
L'Acrocorinthe. Elle est située à 10 kilomètres au sud-ouest de la ville actuelle de Corinthe. Ses remparts couvrent presque 2 kilomètres. Les chapelles, minarets, et autres citernes byzantines que l’on trouve dans l’enceinte témoignent des occupations successives de ce lieu, à savoir celles des Macédoniens, des Corinthiens, des Romains, des Byzantins, des Francs, des Vénitiens et des Turcs. (Source l'internaute.com)
De nombreuses sections de fortifications des époques classique, byzantine, franque et turque ont été restaurées ou relevées au cours des différentes campagnes de travaux, ainsi qu'un certain nombre de bâtiments. Le pont qui franchit le fossé au niveau de la première porte a été reconstruit en 1965–1966. L'effort s'est ensuite porté, dans les années 1970, sur la conservation des deux premières portes et des murs attenants, puis sur d'autres travaux en 1993–1995, comme le remplacement du pont de bois qui marque l'entrée de la forteresse.
L'intérieur du château fort est parsemé de nombreux ouvrages de différentes époques, en particulier au pied du sommet ouest : on rencontre successivement une chapelle vénitienne, des habitations ottomanes, des fontaines, au moins deux petites mosquées, avec un minaret cylindrique à vis, ainsi qu'une citerne byzantine.
L'acrocorinthe: sur cette colline, furent construits une Agora grecque, puis une forteresse romaine et byzantine.
Les francs s'en emparèrent au XIIIe après un siège qui dura 5 ans. Elle fut occupée par la suite par les angevins, les florentins, les Paléologues de Mistra, les Turcs ...
Il reste des vestiges de la plupart de ces époques, du XIVe en particulier.Les ruines de l'Akrokórinthos (acropole de Corinthe) figurent parmi les plus impressionnantes du monde par leur étendue, la grandeur désolée du site qu'elles couronnent, l'immense panorama qu'elles commandent. Du parking, la rampe d'accès à la forteresse procure de spectaculaires perspectives sur les trois lignes de défense et les trois portes qui protègent la citadelle du côté Ouest. Signalons le donjon qui domine les vestiges d'un château franc, la fontaine Pirène supérieure et le temple d'Aphrodite offrant un panorama admirable qui s'étend au nord, au-delà de l'isthme de Corinthe, jusqu'au Parnasse, à l'est sur l'Attique, et au sud sur les monts du Péloponnèse.
Cette petite église de Saint Dimitri, protecteur de la forteresse a été construite il y a plusieurs siècles, elle est toujours en service pour des gens qui croient en Dieu, l'Amitié et la Paix.
Détail au dessus de la porte de l'église Saint Dimitri.
Intérieur de l'église.
Intérieur de l'église, détail d'une icône.